Morrigan

Bosmans

UX Designer & Copywriter

LireUX - Flatland

Le but était de travailler de la mise en pages d’un texte. Le dit texte est un chapitre de Flatland de Edwinn A. Abbot. Chaque étudiant s’est vu attribuer un chapitre pour offrir ainsi une expérience unique au lecteur parcourant les chapitres les uns après les autres, découvrant des univers graphiques différents, tout comme des manières différentes d’aborder le contenu du texte. En gros, c’est une expérience collective dont le but était de s’amuser à extraire un sens au texte pour y amener une mise en pages.

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Découverte du chapitre 14

La première chose à faire a été de lire le chapitre qui m’a été attribué. Ensuite, par curiosité et parce que l’œuvre m’a intriguée, j’ai lu les chapitres précédents et suivants le mien, puis tout le livre. Cela m’a permis de mieux cerner l’univers littéraire qu’a créé Abbott.

Ensuite, de retour sur mon chapitre, j’ai analysé le message, les tenants et aboutissant du dialogue que je devais traiter. Rapidement, j’ai remarqué une dualité dans les personnages. La ligne qui évolue dans un monde en une dimension, se repère à l’ouïe. Le carré, lui, se repère à la vue étant donné qu’il évolue dans deux dimensions.

Rendre visuel le textuel

Ma première idée a donc été de jouer sur cette dualité, mêlant les extraits audio aux paragraphes de textes. Faire parler un personnage directement dans les oreilles du lecteur tandis que l’autre serait exclusivement textuel. L’idée me plaisait beaucoup, mais, malheureusement, par manque de temps et de matériel, j’ai dû faire l’impasse sur cette idée. Mais nul doute que pour une éventuelle seconde version du travail, il se pourrait que je mette le procédé en place.

Il reste donc trop peu de temps que pour faire mes prises de son, mais largement de quoi m’occuper du visuel de mon site. Après des recherches graphiques, je décide de partir dans quelque chose de plutôt sobre mettant la géométrie en avant.

Les maîtres-mots ont étés « carrés » et « lignes ». L’idée est de présenter les protagonistes du chapitre dans la mise en pages. Le titre est donc dans un carré posé sur une ligne, représentant la situation même racontée dans le dit chapitre. Dans la même optique de visuellement exprimer ce dont le texte parle, j’ai volontairement décalé le paragraphe où le carré sort du pays de la ligne pour faire ressentir le décalage de par la position du texte.